« Nous semblons nous diriger vers des résultats qui pourraient ne pas être crédibles, et en conséquence pourraient ne pas être acceptés, non seulement par les partis politiques mais aussi par les électeurs eux-mêmes ». C’est ainsi qu’a parlé le porte-parole du Chadema (Parti pour la démocratie et le développement), le principal parti d’opposition pour dénoncer des cas de fraudes avant même la publication des résultats provisoire prévue dans la journée de ce lundi 26 octobre.
Hier, dimanche, pendant que les ivoiriens se ruaient vers les urnes pour élire le président qui dirigeraient les destinées du pays pour les cinq années à venir, les 23 millions d’électeurs Tanzaniens étaient eux aussi appelés à désigner un nouveau président.
Selon certains observateurs, ces élections s’annonçaient très indécises et pourraient mettre fin au règne du Chama Cha Mapinduzi (CCM), parti au pouvoir depuis l’indépendance du pays en 1961.
Thienadine