L’OMVS veut protéger les massifs du Fouta-Djalon contre les changements climatiques

Le Haut-commissaire sortant de l’Organisation pour la mise en valeur du fleuve Sénégal (OMVS)

, Kabiné Komara a préconisé, jeudi à Dakar, Le Haut-commissaire sortant de l’Organisation pour la mise en valeur du fleuve Sénégal (OMVS), Kabiné Komara a préconisé, jeudi à Dakar, la recherche de solutions pour faire face aux changements climatiques afin de préserver les massifs du Fouta- Djalon (Guinée).

« (…) il y a lieu de porter une attention particulière à la mise en place rapide, de concert avec la CEDEAO, de l’observatoire régional de l’eau et de l’environnement des massifs du Fouta-Djalon qui sont aujourd’hui menacés », a-t-il dit lors de la cérémonie de passation avec le nouveau commissaire de l’OMVS, Hamed Diane Semega.

Le Commissaire Komara a indiqué que c’est de ces massifs que parte une bonne partie des 1.200 cours d’eau qui arrosent la Guinée.

« Le défi concerne la façon dont l’OMVS devra s’inscrire dans la dynamique des acteurs majeurs, pour faire face aux changements climatiques », a-t-il estimé.

Il a relèvé que les massifs du Fouta-Djalon sont aujourd’hui menacés par toutes sortes de dégradations qui, si des mesures appropriées ne sont pas prises rapidement, risquent de mettre en danger tous les acquis actuels de l’OMVS.

Ces insuffisances causées par le manque d’eau pourraient impacter sur la vie de plus de 100 millions d’habitants de l’Afrique de l’Ouest, a alerté Kabiné Komara.

Parmi les défis, il a cité la nécessité de concertation avec tous les Etats membres, pour tirer profit des nouvelles opportunités de financement qu’offre le contexte international actuel, aussi bien au niveau bilatéral que multilatéral.

Selon lui, les besoins globaux de financements pour la réalisation des différents projets de l’OMVS se chiffrent à 4 milliards de dollars US.

« Mobiliser une telle enveloppe demande un immense effort de connectivité, de suivi et de réactivité », a soutenu le commissaire sortant.

Il a affirmé que des solutions sont en train de se mettre progressivement en place afin qu’à terme, le bassin exploite d’une manière exhaustive, son potentiel agricole, ses infrastructures de communication, fluviales et routières.

M. Komara a invité son successeur à veiller au défi de la modernisation de l’OMVS, par la mise en chantier de deux études majeures à savoir le financement autonome du système OMVS et la revue du mode de fonctionnement et de coordination de l’organisation.
SDI/ASB/OID
« (…) il y a lieu de porter une attention particulière à la mise en place rapide, de concert avec la CEDEAO, de l’observatoire régional de l’eau et de l’environnement des massifs du Fouta-Djalon qui sont aujourd’hui menacés », a-t-il dit lors de la cérémonie de passation avec le nouveau commissaire de l’OMVS, Hamed Diane Semega.

Le Commissaire Komara a indiqué que c’est de ces massifs que parte une bonne partie des 1.200 cours d’eau qui arrosent la Guinée.

« Le défi concerne la façon dont l’OMVS devra s’inscrire dans la dynamique des acteurs majeurs, pour faire face aux changements climatiques », a-t-il estimé.

Il a relèvé que les massifs du Fouta-Djalon sont aujourd’hui menacés par toutes sortes de dégradations qui, si des mesures appropriées ne sont pas prises rapidement, risquent de mettre en danger tous les acquis actuels de l’OMVS.

Ces insuffisances causées par le manque d’eau pourraient impacter sur la vie de plus de 100 millions d’habitants de l’Afrique de l’Ouest, a alerté Kabiné Komara.

Parmi les défis, il a cité la nécessité de concertation avec tous les Etats membres, pour tirer profit des nouvelles opportunités de financement qu’offre le contexte international actuel, aussi bien au niveau bilatéral que multilatéral.

Selon lui, les besoins globaux de financements pour la réalisation des différents projets de l’OMVS se chiffrent à 4 milliards de dollars US.

« Mobiliser une telle enveloppe demande un immense effort de connectivité, de suivi et de réactivité », a soutenu le commissaire sortant.

Il a affirmé que des solutions sont en train de se mettre progressivement en place afin qu’à terme, le bassin exploite d’une manière exhaustive, son potentiel agricole, ses infrastructures de communication, fluviales et routières.

M. Komara a invité son successeur à veiller au défi de la modernisation de l’OMVS, par la mise en chantier de deux études majeures à savoir le financement autonome du système OMVS et la revue du mode de fonctionnement et de coordination de l’organisation.
SDI/ASB/OID / APS

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