La deuxième édition du marathon international de la Petite Côte, prévue du 25 au 27 novembre prochain peut être « une bouée de sauvetage » pour le secteur touristique a estimé, samedi, son coordonnateur, Robert Ndiaye.
« Si au fil des années, on arrive à avoir le même engouement que le marathon de New-York ou de Paris, en accueillant 55 000 personnes dont certaines vont loger dans les hôtels et d’autres vont rester même une semaine, il y aura des retombées économiques au niveau local », a estimé M. Ndiaye qui faisait face à la presse.
Robert Ndiaye a invité tous les maires des communes de la Petite Côte à comprendre que ce marathon est « un bel évènement culturel » qui va mobiliser une quarantaine de troupes artistiques.
« Culturellement, c’est un évènement extrêmement important, parce que le touriste qui va quitter l’Europe ou ailleurs pour venir ici trouvera, au-delà de l’aspect sportif, qu’on a beaucoup de choses à faire valoir. Et nous allons en profiter pour faire découvrir notre magnifique zone », a déclaré le coordonnateur dudit marathon, qui est organisé en partenariat avec la commune de Malicounda.
Les coureurs partiront de la station balnéaire de Saly-Portudal à Pointe-Sarène, en passant par Mbour, Mballing, Warang et Nianing, sur une distance de 42 kilomètres en aller et retour. Il y a aussi, outre les 42 km, des circuits de 21 km, 10 km et 2 km pour les enfants également.
ADE/PON / APS